La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de l'ordre d'arrivée :
Nous avons mangé des salades aux magrets, ou au Saint-Félicien, de l'andouillette, une côte de porc et de la bavette. Nous avons bu diverses bières, dont de la Petrus, ainsi que de la vodka et un Ricard.
Nous avons parlé de Perl, Internet, informatique et points divers.
4, rue de la Libérationle correcteur vous signalera qu'il ne faut pas mettre de virgule après le « 4 » et qu'il faut accorder « rue » en nombre pour une adresse « correcte »
4 rues de la Libération
De nombreuses personnes estiment que l'échec de la Ligne Maginot lors de la Seconde Guerre Mondiale est un témoignage de l'échec des fortifications statiques : les Français étaient focalisés sur la guerre de tranchées et n'ont pas tenu compte des avancées technologiques qui sont apparues lors des deux décennies précédentes. C'est en fait incorrect. Au cours de la Seconde Guerre Mondiale, la Ligne Maginot a eu l'effet escompté. Son but était de canaliser l'invasion allemande à travers la Belgique, de façon que les combats ne prennent pas place sur le sol français et d'autre part pour s'assurer qu'ainsi la Grande Bretagne se rangerait du côté de la France contre l'Allemagne. Ce qui est arrivé en 1940, c'est que les aménagements défensifs prévus pour les Ardennes n'avaient pas été réalisés (c'est-à-dire, il était prévu d'envoyer des troupes dans la forêt pour bloquer l'accès dans cette direction), ce qui a laissé un trou dans la ligne de défense. L'échec de la ligne Maginot est un échec dans l'exécution du plan, plus qu'un échec dans la conception ou la planification.Reconnaissons que vouloir canaliser les combats en Belgique, c'est un projet assez cynique...