La réunion qui a failli tomber à l'eau (de pluie)
Un historique de toutes nos réunions
Table des matières
La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de l'ordre d'arrivée
- moi,
- Théo,
- Benoît,
- Kai,
- Olivier,
- Antoine,
- avec une bève apparition de Nicolas au moment où nous avons quitté le restaurant.
Kai, Théo et moi avons mangé le plat du jour, de l'émincé de poulet
avec des légumes plus ou moins exotiques, comme du gingembre. À cause
d'une rupture de stock, Antoine a dû se rabattre sur un plat équivalent,
du wok de poulet. Benoît a mangé un tartare et Olivier a mangé un gazpatcho
andalou et une assiette de charcuterie. Pour le dessert, Benoît,
Olivier et Antoine ont mangé un mi-cuit au chocolat, Théo et Kai un
gazpatcho de fraises et moi un capuccino de fraises. Le tout était
arrosé d'un vin du Languedoc. À titre d'apéritif, Théo, Benoît et moi
avons bu un Kir (cassis pour Benoît et moi, pêche de vigne pour Théo)
et Kai a bu une Carlsberg. Comme je l'ai fait remarquer, la proportion de mongueurs
ne buvant pas de bière
est donc de 80 % (avant l'arrivée d'Antoine), puis de
83 % après l'arrivée d'Antoine.
La réunion a failli tourner en eau de boudin. Il était prévu
de se réunir au Maldoror. Je suis arrivé à 20h20 environ et j'ai
trouvé le Maldoror avec le rideau de fer baissé. J'ai attendu
quelques minutes, mais en raison de la pluie battante et malgré
mon vêtement de pluie, j'ai abandonné l'attente assez rapidement.
Je suis donc reparti vers la sation Oberkampf pour rentrer
chez moi. Un heureux hasard a voulu que, au moment où j'allais
entrer dans la rame, j'ai vu descendre par cette porte précise
Théo et j'ai donc fait demi-tour pour le rattraper.
Comme il pleuvait un peu moins, nous avons pu explorer
les environs et c'est ainsi que nous avons opté pour la
« Pharmacie », un restaurant situé un peu plus
loin sur le même trottoir que le Maldoror, où le médicament principal semble
être le vin (ne pas dépasser la dose prescrite).
Nous avons indiqué notre position de repli sur
un papier, coincé dans la glissière du rideau de fer du
Maldoror. C'est grâce à ce papier que Benoît a pu nous
retrouver. En revanche, Kai ne l'a pas vu et a néanmoins
réussi à nous rejoindre, suivi de peu par Olivier.
Nous avons parlé de Perl,
d'Internet,
d'informatique
et d'autres sujets.
-
Benoît explique son activité et son rapport avec Perl.
À l'origine, son frère s'occupait de deux sites,
l'un présentant des annonces immobilières,
l'autre permettant d'obtenir des compteurs et des statistiques
sur des sites web. Compte tenu de la montée en popularité
de ce second site, le frère de Benoît a progressivement
laissé tomber le premier. Suite à un changement professionnel,
Benoît a repris l'activité autour du site d'annonces,
ce qui représente une bonne part de programmation
et également un peu d'activité un peu plus commerciale.
Ce site est loin derrière les
grands sites
concurrents, mais il possède une niche particulière
puisqu'il est spécialisé pour les annonces à l'intention
des étrangers. D'ailleurs, il est traduit en 17 langues
d'où l'utilisation de
Locale::Maketext.
Benoît ne connaissait pas Perl, mais comme son frère a
programmé son site en Perl et que la priorité était au
développement commercial, Benoît a préféré conserver les programmes en l'état et
se mettre à Perl pour les développements ultérieurs de
ce site.
-
Pour les nouveautés de ce site, Benoît est en train
de se lancer dans l'utilisation de
Catalyst,
avec le module
HTML::FormFu
pour tout ce qui est formulaire.
Benoît avait envisagé
HTML::Widgets,
mais ce module n'est plus maintenu.
-
Dans CPAN, on trouve
tout, mais le problème est en réalité la surabondance
de modules. Ce qui serait bien, je trouve, c'est un site
répondant à une interrogation simple, telle que
« comment envoyer un message électronique »
et qui ensuite guiderait l'utilisateur avec des critères
comme la possibilité d'associer des pièces jointes,
l'utilisation de
Google Mail,
et ainsi de suite. Théo a entendu parler de
CPAN-Compare,
mais cela se borne juste à montrer le nombre
d'étoiles associées aux modules demandés.
-
Je fais part d'un problème qui m'est arrivé récemment.
J'ai détecté un
bug
dans un module donnant le lever et le coucher du soleil.
J'ai corrigé le module et envoyé le patch sur
Request Tracker,
mais le mainteneur du module n'a pas encore
publié la version corrigée de son module.
J'ai voulu installer sur une autre machine
la totalité des
modules DateTime
avec Bundle::DateTime::Complete
tout en utilisant ma version locale et corrigée
de Sunrise. Or,
cpanp
(le shell de
CPANPLUS)
mentionne le répertoire custom_sources.
J'ai donc essayé de créer ce répertoire et d'y mettre
le .tar.gz corrigé du module de lever du
soleil. Mais lorsque j'ai tenté d'installer le module,
j'ai eu une tonne d'erreurs incompréhensibles.
Et rien dans la documentation en ligne de
CPANPLUS
ou de cpanp.
[ Mais si j'avais regardé un peu plus, j'aurais pu trouver des
explications
ou même lire la documentation du
plug-in associé.
Sauf que j'ai essayé depuis et cela ne fonctionne pas. C'est la version
de CPAN qui a été chargée et pas la version corrigée en local.
J'ai peut-être encore loupé quelque-chose.
]
-
Kai me demande si j'ai prévu un
lightning talk
pour les
Journées Perl
à Albi.
Éventuellement un exposé qui concernerait
directement Perl. Mais non, je n'ai pas de lightning talk
de prévu. Nous en profitons pour décrire à Benoît ce que
sont les lightning talks.
-
En revanche, Olivier a prévu un
exposé de longueur normale,
sur la programmation en shell. Je reprends l'anecdote
déjà citée,
concernant l'utilisation d'un mécanisme analogue aux
alias, avec le Bourne shell des années 70.
-
Théo a évoqué un éditeur de texte écrit entièrement en Perl,
mais je n'ai pas noté le nom de ce programme.
D'autre part, il utilise l'un des deux modules traditionnels
de dates, mais je ne me souviens plus s'il s'agit de
Date::Calc
ou de Date::Manip.
-
Évoquant la part importante que Google
a pris sur Internet, Benoît estime que malgré tout, il serait plus
facile de se passer de Google que de Windows. Grand émoi d'Olivier,
qui a un compte de messagerie sur
Gmail.
-
L'un des participants, je ne sais plus qui, a déjà essayé
la version Internet et partagée
des logiciels de type Office, notamment les bases de données et les feuilles de calcul.
C'est curieux de travailler sur un coin de la feuille de calcul
et de voir à un autre endroit les cellules se remplir
automatiquement, parce qu'un partenaire travaille sur la même
feuille de calcul.
-
Olivier annonce que le samedi et le dimanche suivant, allaient
avoir lieu les
Journées Python 2008.
L'âge moyen de l'assistance est plus jeune que pour les
conférences Perl. Je lui demande si, après
avoir présenté Django
aux Journées Perl 2006,
il avait l'intention de présenter Catalyst aux
Journées Python. Il semblerait que non.
-
Évidemment, l'événement qui nous a marqué lors des quelques jours qui
ont précédé la réunion est la
fermeture d'O'Reilly France.
Je signale à Benoît que j'ai travaillé pour eux, en tant
que correcteur de la traduction de
Programmation en Perl, 3e édition
et en tant que traducteur pour
De l'Art de programmer en Perl.
Kai ajoute qu'il a lui aussi participé à la traduction de
Programmation en Perl 3,
qu'il a fait celle de
Perl Précis et Concis
(avant-dernière édition, c'est Stéphane qui a fait la dernière).
Il a également fait la traduction d'un livre qui ne parlait pas
de Perl, mais il ne se souviens plus s'il s'agissait de
Java ou de XML. Kai avait l'air de ne pas tellement se souvenir,
lui non plus.
-
Suite à cette annonce, Kai a rempli le questionnaire
proposé par la filiale britannique, pour s'enregistrer en
tant que groupe. Il a transmis une copie d'écran
à la liste, mais il s'est enmêlé les pinceaux
et il nous a transmis un fichier JPEG de 200 Ko,
ce qui dépassait la limite autorisée sur la liste.
C'est pour cela que le message a été mis en attente
et que j'ai dû en approuver la diffusion, en tant
qu'administrateur de la liste adhérents.
-
Kai nous évoque l'un de ses boulots, qui a peu de chose à voir
avec l'informatique : pendant un certain temps, il a été
traducteur du journal télévisé de
France 2.
Il était donc payé pour regarder la télévision. Enfin, pas seulement,
il devait traduire en anglais le journal qu'il venait de regarder.
-
Benoît nous raconte qu'il a travaillé chez
France Télécom.
Il nous signale par exemple que
les Pages Jaunes
ne dépendent pas de France Télécom et il nous raconte
pourquoi. À une certaine époque, France Télécom a cherché
à racheter une société étrangère, appelée « Orange ».
Habituellement, une prise de contrôle se fait en
échangeant auprès des actionnaires des actions de l'entreprise
acheteuse contre des actions de l'entreprise achetée et, que la
bourse soit haute ou basse, cela n'a pas d'impact sur le rachat.
C'est simple et l'entreprise ne débourse aucun cash.
Ceci posait problème au gouvernement français (cohabitation Jospin-Chirac)
car cela aurait dilué les actions de l'État dans France Telecom et l'État
serait passé sous la barre des 50 %. Donc, il a été
décidé que FT échangerait les actions d'Orange contre
de l'argent sonnant et trébuchant. Du coup, FT a racheté Orange au pic boursier,
juste avant le crash et s'est retrouvée
avec une énorme dette. Pour en renflouer une partie,
FT a été contrainte de vendre
les Pages Jaunes.
Malgré cela, il restait encore un trou dans la trésorerie
et du coup les actions FT ont chuté de 120 EUR jusqu'à 8 EUR.
Benoît se souvient de collègues chez FT,
qui avaient auparavant suffisamment d'actions pour s'acheter
une belle baraque, mais qui, du jour au lendemain, avaient tout juste
les moyens de s'acheter une télévision à écran plat (un écran
de belle taille certes, mais cela ne remplace pas des murs et un toit).
-
Les malheurs de France Télécom ne se sont pas arrêtés là.
Quelques années plus tard, il y a eu la libéralisation des
renseignements téléphoniques avec l'orgie publicitaire
de numéros en « 118 ».
Comme nous l'apprend Benoît, ces numéros ont été attribués
par tirage au sort. Plusieurs sociétés se sont mises sur les rangs,
parfois avec des sociétés « de paille » dont le but était
simplement d'occuper la place dans le tirage au sort et donc
d'améliorer les chances de la société principale.
Et hélas pour France Télécom, leur tour est venu en
dix-huitième position sur vingt... longtemps après
les Pages Jaunes.
-
Je ne sais plus comment nous en sommes venus à parler de
la Guerre des Étoiles.
J'ai exposé mon point de vue sur l'affirmation que
George Lucas
avait dès le début la vision globale de la série et que
dès le début, il savait que le film sorti en 1977 était
le quatrième de la série. Pour moi, c'est une légende sans
fondement. Comment commence ce film
(un Nouvel Espoir) ?
Tout d'abord, dans la version telle qu'elle est sortie
en 1977, il n'était pas marqué « épisode IV »
et c'est au moment de la sortie du suivant,
l'Empire contre-attaque
que tout le monde a jasé sur la mention « épisode V ».
Ensuite, l'une des premières scènes est un face-à-face entre
Darth Vader
et la princesse Leïa.
C'est-à-dire, comme on l'apprend
plus tard, entre le père et la fille. Et le père, malgré la
Force qui est en lui, n'a pas été fichu de reconnaître
son enfant. C'est l'incohérence la plus sérieuse, mais
il doit être possible d'en trouver de nombreuses autres.
À mon avis, dans l'esprit de George Lucas et de ses scénaristes
en 1977, quand
Obi-Wan Kenobi
disait que Darth Vader
avait tué
Anakin Skywalker,
il ne s'agissait par d'une métaphore
pour « il a basculé du côté obscur de la Force »,
mais il s'agissait bel et bien d'un combat au
sabre-laser.
[ Analyse confirmée par
ce site.
Cherchez la chaîne "pas encore".
]
-
Il a été question des feuilletons télévisés en plusieurs
saisons. À commencer par
Prison Break,
qui en est à sa troisième saison.
Dans la première, les héros sont en prison et cherchent
à s'enfuir. Et, juste à la fin de la saison, leur tentative
d'évasion réussit. Dans la deuxième saison, ils sont
en cavale. Et dans la troisième saison, ils sont de nouveau
en prison (mais pas dans la même) et ils cherchent à s'enfuir.
Le tout avec une vague histoire de complot.
-
Un feuilleton qui semble être plus enthousiasmant pour ceux
qui ont la télévision, c'est
Lost.
Même si une saison (la deuxième ?) était un peu faiblarde,
les saisons suivantes étaient intéressantes et on sent
une histoire bien construite.
-
Et il a été question d'un autre feuilleton multi-saison,
Dallas.
Là, surtout vers la fin, on ne pouvait
plus parler d'une histoire bien construite. Le scénario
réagissait aux événements de la vie réelle des acteurs.
Par exemple, un jour, Patrick Duffy, l'interprête de
Bobby Ewing, a demandé une augmentation
de son cachet. Les producteurs ont refusé. Patrick Duffy
a donc démissionné. Et les producteurs lui ont fait tourner
un ultime épisode où Bobby Ewing mourrait, renversé par une voiture.
Le feuilleton se poursuit tandis que Patrick Duffy tente
de faire une carrière cinématographique. Mais cela ne réussit
pas et il décide de revenir sur le tournage de Dallas.
Les scénaristes décident alors d'un scénario où
Pamela se réveille un matin, entend quelqu'un juste à côté
en train de prendre une douche, constate qu'il s'agit de Bobby
et réalise alors que les n épisodes précédents
étaient un rève qu'elle vient de faire. La ficelle était tellement
grosse que le public a commencé à se désintéresser de Dallas
à partir de ce moment-là.
-
Un autre phénomène que l'on trouve dans Dallas, mais aussi
dans d'autres feuilletons et dans des séries de films, c'est
le fait qu'un même personnage change d'interprête.
Dans certains cas, les scénaristes tentent de justifier
cela en prétextant un accident de voiture suivi par une
opération de chirurgie esthétique, mais dans d'autres cas,
aucune justification n'est fournie, comme cela a été
le cas pour
Béatrice de Montmirail,
qui avait les traits de
Valérie Lemercier
dans le premier film
Les Visiteurs
et ceux de
Muriel Robin
dans la suite.
-
Il y a également la série
Docteur Who,
dans laquelle l'acteur principal
change régulièrement,
au bout de trois saisons en général. Mais comme c'est un extra-terrestre,
il peut se permettre de changer d'apparence physique.
-
Et nous avons cité enfin
l'Oracle
de Matrix,
qui change entre les deux premiers épisodes et
le troisième.
Et lors de la première apparition de l'Oracle dans
Matrix Revolutions, elle s'adresse
à ses visiteurs en leur disant : « Étonnés, hein ! »
-
Olivier revient de quelques jours de vacances en Italie, où
il est allé faire du ski de randonnée. Pendant son séjour en
Italie, il a vu une voiture Google,
avec des autocollants sur la carrosserie et une
antenne de trois mètres environ sur le toit. C'est une
antenne pour GPS. Cela m'étonne que l'on ait besoin de
trois mètres d'antenne pour recevoir les signaux GPS,
étant donné qu'il existe des récepteurs de poche.
On me répond que c'est pour continuer à recevoir le
signal dans les vallées très encaissées. Bon, admettons.
-
Après que Kai nous a évoqué un
accident mortel
en Vélib', nous avons parlé de l'extension éventuelle du Vélib'
aux communes de la banlieue. Benoît nous rappelle comment
le Vélib' est arrivé à Paris. L'attribution du contrat
a fait l'objet de deux batailles : la première opposait
les deux postulants prestataires,
J-C Decaux
et Clear Channel,
tandis que l'autre bataille était une bataille de
Bertand Delanoë contre le temps, à l'approche des
élections municipales. C'est pour cela que l'attribution
du marché s'est faite sans inclure les villes de la proche couronne
dans l'appel d'offre. Du coup, J-C Decaux est maintenant en situation
de monopole pour répondre aux demandes des villes de banlieue... et
propose des tarifs élevés.
-
Il paraît qu'il existe un projet d'« Autolib' ».
Cela pourrait très bien intéresser des personnes qui,
la plupart du temps, se passent de véhicule personnel
et utilisent les transports en commun, mais qui de temps
en temps ont besoin de transporter un chargement lourd :
achat de meuble ou d'appareil électro-ménager, par exemple.
-
Kai évoque également la possibilité de « motolib' ».
Il ne s'agit pas de louer des grosses motos, genre
Easy Rider
ou l'Équipée Sauvage.
Il s'agirait plutôt de vélo avec un moteur d'appoint, à propulsion
électrique. En effet,
il y a deux problèmes, selon Kai, qui limitent l'utilisation
des Vélib' par n'importe qui : d'une part, la dépense physique
pour appuyer sur les pédales, surtout dans les montées
et d'autre part, l'exposition aux intempéries.
-
À propos d'Albi,
Kai nous signale que cela lui fait penser au cycle
Terremer
d'Ursula le Guin,
car l'une des îles
de ce monde comporte un lieu nommé « Re Albi ».
-
Je ne sais plus comment nous en sommes venus à parler
des trilogies, notamment des trilogies en 5 volumes.
Il y a la trilogie du
Guide du Routard Galactique
de Douglas Adams.
Je cite également la
Brentford Trilogy
de Robert Rankin.
Je croyais qu'elle en était restée à 5 volumes, mais
Wikipedia
en annonce huit.
Robert Rankin écrit des romans plutôt tordus, à tel point
qu'il a inventé l'expression weird fiction
pour définir son genre de romans (et pour prétendre avoir
créé un mouvement littéraire). Selon le roman, j'aime plus
ou moins. Je ne sais donc pas si je dois le conseiller
à tout le monde, car tout le monde n'appréciera pas forcément.
-
Pour en revenir au tout premier sujet abordé, le marché de l'immobilier,
Benoît nous signale que son site comporte des annonces pour des
propriétés en Bulgarie, récemment entrée dans l'Union Européenne.
Comme le niveau de vie n'est pas le même que chez nous,
le prix de l'immobilier là-bas est très faible par rapport
à ce que nous connaissons ici. Donc, si vous voulez déménager
à l'étranger, vous savez où aller.
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Mongueurs de Paris, le 28 janvier 2021
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