La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction approximative de l'ordre d'arrivée :
Nous avons mangé des salades composées aux harengs ou aux lardons, des entrecôtes, des andouillettes, des saucisses au couteau, des profiterolles, des fromages blancs et des entremets au citron. Nous avons bu de la bière (Petrus, Leffe, Martins et autres), une vodka et du vin.
La pluie tombait plus fort que le mois dernier, mais au moins, le Maldoror était ouvert, ce qui nous a évité un déplacement en milieu humide vers une position de repli.
Nous avons parlé de Perl, d'Internet, d'informatique et de points divers.
Des partisans de Dieudonné pris à partie par des "anti-racistes"Ce qui choque Stéphane, c'est l'utilisation des guillemets, qui permet de ne pas appeler un chat un chat, pour qualifier les protagonistes de la rixe. Stéphane estime que cette périphrase et l'utilisation des guillemets est un signe du complot de la minorité visée par Dieudonné et de la main-mise de cette minorité sur les media. Jérôme réplique que si les journaux avaient appelé un chat, un chat, alors la banlieue serait descendue dans le quatrième arrondissement pour tout casser. Pour lui, la périphrase et les guillemets témoignent d'une volonté de ne pas provoquer des émeutes. J'évoque une troisième possibilité, à laquelle, il est vrai, j'accorde moins que crédibilité qu'à celle de Jérôme, c'est que le "journaliste" fait peut-être "partie" de cette catégorie de la "population" qui utilise les guillemets "à tort et à travers", sans vraiment se "préoccuper" de leur "signification".
L'humour juif, c'est quand on en rit quand même.