La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de la disposition autour de la table :
Au moment de la réunion, le temps était sec. Mais quelques heures avant, pendant l'après-midi, il y a eu de la pluie. Je me suis fait la réflexion :
Il pleut, nous sommes au mois de mai et le Maldoror est fermé.
Heureusement, depuis le mois de février nous nous retrouvons au restaurant « O Philos'off » et c'est également là que nous nous sommes réunis au mois de mai.
Nous avons mangé du foie gras de canard, des nems, du confit de canard, des « larmes du tigre », une « salade 86 », des moelleux au chocolat et des crèmes brûlées. Nous avons bu de la bière, du vin, des Mojitos et un cocktail Diderot.
Nous avons parlé de Perl, Internet informatique et points divers.
say "Trouvé" if $x if 7 = any <4 6 9 7 14>;Pourquoi y a-t-il deux if à la suite ? Laurent (l'auteur) avoue à Laurent (le lecteur) qu'il s'agit d'une faute de frappe. Et quelle est la différence entre les métaopérateurs et les hyperopérateurs ? Personne n'est en mesure de donner une description claire et simple de la différence entre les deux.
2 + 3 5 1 2 3 + 40 50 60 41 52 63Les hyperopérateurs s'appliquent donc à des données de structure complexe, mais des données quand même. En revanche, les métaopérateurs agissent sur des opérateurs (ou hyperopérateurs). Ainsi, le métaopérateur « / » (réduction) s'applique à l'opérateur « + » (addition) pour donner un opérateur calculant la somme des éléments d'un vecteur :
+/ 1 2 3 4 5 15On prend un opérateur à deux opérandes (opérateur dyadique selon la terminologie APL) pour générer un opérateur à un seul opérande (opérateur monadique). Est-ce plus clair avec cet exemple ? L'équivalent en Perl 6 est :
> say 2 + 3 5 > say (1, 2, 3) «+» (40, 50, 60) [ 41 52 63 ] > say [+] (1..5) 15Donc «...» et [..] sont des méta-opérateurs, tandis que «+» et [+] sont des hyper-opérateurs. Remarque : je n'ai pas testé, c'est juste en lisant l'article de Laurent et son tutoriel que j'ai reconstitué les lignes ci-dessus.
La guerre est une chose trop grave pour être confiée à des militaires, a fortiori à des civils.Et il ne décrit pas du tout comment gagner la guerre, car dans le contexte de la fin des années 1980, si une guerre éclatait entre l'OTAN et le Pacte de Varsovie, personne ne la gagnerait. Ni l'OTAN, ni le Pacte de Varsovie, ni même les neutres. Ce livre fait réfléchir les lecteurs, en les incitant à voir plus loin que les idées reçues communément admises ou les théories du complot qui se font jour de temps en temps et à garder l'esprit critique. Si vous vous souvenez de l'analyse du début de la Guerre du Vietnam dans un compte-rendu d'il y a quelques années, ce compte-rendu hérite en partie de l'esprit critique développé par Dunnigan.
Les logiciels libres remplaceront les mauvais dirigeants.Et maintenant, comparez ces deux phrases :
FastCGI remplace CGI.pmet maintenant, relisez la phrase supposée de Vincent. Curieuse symétrie ? Encore plus bizarre, je trouve, que la symétrie entre les deux sens de « louer » (« Le touriste loue une chambre. » et « L'hôtelier loue une chambre. ») ou celle de « hôte » (« L'hôte reçoit ses invités. » et « La maîtresse de maison reçoit ses hôtes. »). Et qui peut conduire à des méprises. Ensuite, même si je pense mieux comprendre les arguments de Vincent, je pense qu'il est un peu trop simplificateur. Un dirigeant peut évoluer pendant sa carrière et commencer en étant pragmatique et favorable à la simplicité et évoluer en enflant son ego et en favorisant la complexification inutile des procédures de son entreprise. Ou bien il peut évoluer en sens inverse. D'autre part, on trouve des dirigeants qui prennent des mauvaises décisions et qui mènent leur boîte à la ruine, mais qui savent démissionner à temps, tirer les marrons du feu et faire porter le chapeau aux autres. Quelques années plus tard, on les retrouve à la tête d'un autre boîte...
l'administrateur système remplace CGI.pm par FastCGI
Désolé, nous ne pouvons pas joindre votre correspondant.Comment ça ! C'est vous qui appelez, pas moi. Il faut savoir qu'en réalité, ce ne sont pas les démarcheurs qui composent le numéro, mais un automate, qui traite à la fois les connexions téléphoniques avec l'extérieur et les connexions avec les démarcheurs. La séquence est la suivante ;