La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de l'ordre d'arrivée approximatif
Nous avons mangé des tartiflettes, des cheeseburgers, des moules au curry, une pièce du boucher, un pavé de kangourou, des nègres en chemise et des tartes aux pommes. Nous avons bu de la Beamish Red, de la Stout, de la Blanche, du Pepsi, une margarita et de l'Orangina.
Nous avons parlé de Perl, d'Internet d'informatique et d'autres sujets.
<a href="mailto:toto@monfai.com">écrivez-moi à "toto (arrobase) monfai (point) com"</a>Lorsque Sniper a voulu prévenir « toto » que les robots n'auraient aucune difficulté à trouver l'adresse électronique, il s'est fait agonir d'injures et il s'est notamment fait traiter de spammeur.
Grâce à nous, vous verrez que 1984 ne ressemble pas à 1984.On y voit un écran avec Big Brother, on y voit des individus ternes et gris prendre place pour assister à une séance de propagande et d'endoctrinement par Big Brother, on y voit une escouade de police anti-émeute poursuivant une jolie fille portant des vêtements aux couleurs vives et armée d'un marteau ou d'une masse. Et la fille parvenait à échapper aux policiers anti-émeute et à briser l'écran diffusant le discours de Big Brother.
En 1969, il y avait en France 7 700 000 ouvriers, il y eut 1 248 condamnations pour crimes en cours d'assises, parmi lesquelles 696 contre des ouvriers. Voilà des chiffres bruts ; et maintenant, transformons ce chiffres en pourcentages.
Version no 1 : Les ouvriers français sont particulièrement respectueux des lois puisque moins de 0,01 % d'entre eux a été condamné pour crimes.
Version no 2 : Les ouvriers français sont d'abominables criminels puisque plus de 55 % des personnes condamnées par les cours d'assise sont des ouvriers.