La voix du secrétaire (Jean), fortement aidé par StéphanePrésents à la réunion :
Nous avons parlé de Perl, bien sûr, mais aussi d'autres sujets concernant l'informatique, et des sujets divers.
[...] quand on compare le français à l'anglais, une plus grande clarté du premier, due, notamment, à l'emploi des prépositions et des articles : « world population conférence » est ambigu, alors que le français doit choisir entre « congrès mondial de la population » et « congrès sur la population du monde » ; et un cas célèbre est celui de la Résolution 242 de l'ONU dont la version française est préférée par les pays arabes, et la version anglaise par Israël, car sur un point capital, relatif aux territoires occupés, la première est très précise, alors que la seconde est ambiguë.Il y a un auteur (qui?) qui parle du génie propre des langues et parlait du français comme langue de la diplomatie, (et allemand/philosophie, anglais/technique, italien/amour, je [ Stéphane ] crois) maintenant je comprend.
The boy Doveston shuffled across the quadrangle. It was a definite shuffle he had, as opposed to, say, a waddle or a totter. There was the hint of a slouch to his gait and more than a little of the plod. There was trudge in it too, as a matter of fact, and a smidgen of amble as well.Mais c'est un cas particulier. En règle générale, je suis d'accord pour dire que la langue française est plus riche et plus précise que l'anglais.
But let it be set clear upon the record and right from the very start, there was no trace of sidle in that walk. And had he chosen, for reasons of his own, to increase the speed of his perambulation, there would have been no swagger, strut, or goose-step.
Quant au passage de l'alphabet consonnantique des phéniciens à l'alphabet complet des grecs, Monin (dans l'éd. 1974) cite Meillet :
Mais quand on a employé l'alphabet sémitique à noter d'autres langues, le carien, le crétois préhellenique, ou le grec, par exemple, où les timbres vocaliques étaient plus variés et où la connaissance de la morphologie ne suffisait pas les faire prévoir, il a fallu noter constamment les voyelles.et il [ Monin ] cite aussi R. Weill « C'est dans le monde syro-phénicien que cette grande invention [ de l'alphabet ] fut faite ». Suite à cette lecture, j'avais [ Stéphane ] judicieusement ouvert Une autre histoire des religions qui illustre l'« utilité » des voyelles en grec. Avec l'arabe et l'hébreu, on se met sur la gueule à cause de l'ambiguïté due à l'absence de voyelle et voilà ce que ça donne avec l'invention des voyelles :) (Bouquin de Odon Vallet, énarque, diplômé de IEP de Paris, docteur en droit et en sciences des religions et pas manchot en sociologie et linguistique)
Le concile de Nicée (convoqué en 325 par Constantin) affirme que Jésus est engendré par Dieu, « de nature identique » (homoousios) au Père. (...) Arius (...) affirme que Jésus a été créé, non engendré. Ses partisans les plus modérés concéderont qu'il est de « nature semblable » (homoiousious au Père). Pour un iota de différence, les chrétiens se déchireront pendant trois siècles.
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Le système général de solution est mentionné p 111 et a été introduit par Ralph Gomory, un ancien VP de la recherche chez IBM. Celui-là et d'autres systèmes sont présentés mais pas celui que l'on peut qualifier de boustrophédon qui est pourtant le plus simple par sa forme mais dont la configuration des cases bloquées impose le sens du premier sillon (montant ou descendant)