Géographie locale et Histoire mondiale
Un historique de toutes nos réunions
Présents à la réunion.
Nous avons mangé de la salade de lardons, de la salade de gésiers,
un croustillant poire et chèvre, deux saucisses « au couteau »
avec purée et une andouillette.
Nous avons bu de la bière Orval, un pastis et de la vodka.
La réunion a eu lieu au Maldoror.
-
Kai revient d'un voyage touristique à
Taïwan.
Il décrit ce pays comme un paradis geek.
Tout ce que j'en sais, c'est qu'à Taïwan, il y
a des montagnes et que l'on peut aller faire
une ballade en montagne et, lors des pauses, programmer
sur son portable, du moment que l'on dispose de
svk
(allusion à la raison pour laquelle
Chia Liang Kao
a développé ce logiciel).
Kai nous décrit comment il a pu avoir une consultation
ophtalmologique sans rendez-vous puis obtenir les nouvelles
lunettes dans la soirée. Notons finalement que Kai,
pourtant une personne du soir, nous a quitté au milieu de
la soirée pour rentrer chez lui et dormir. Il n'a pas encore
tout-à-fait récupéré le décalage horaire.
-
À propos de voyages en avion et de la température négative
de la semaine, nous évoquons les retours depuis les pays chauds.
Laurent raconte que deux de ses belles-soeurs étaient allées à
Honolulu.
À l'aller, lors de la correspondance dans un aéroport
des USA continentaux, ces deux personnes avaient été
obligées de récupérer leurs valises déchargées du premier
avion, puis de les enregistrer pour le deuxième vol.
Au retour, elles pensaient qu'il en irait de même et
donc, elles voulaient profiter de l'escale pour se
changer. Le problème, c'est qu'au retour, le transfert
des bagages s'est fait automatiquement, donc les deux
personnes n'ont pas pu reprendre leurs vêtements chauds
et elles sont arrivées dans la France hivernale en tenue
d'été. À l'inverse, je raconte qu'en janvier 2001, je suis allé faire du tourisme dans
l'hémisphère sud, en
Argentine.
Au retour, je suis monté dans l'avion
vêtu de vêtements légers, notamment un short, car c'était l'été à
Buenos Aires.
Mais j'avais en
bagage à main un pantalon rangé dans un sac et un anorak.
Et je me suis changé au cours du vol, pour avoir une tenue
hivernale à l'arrivée à Roissy. Laurent fait bien attention
lui aussi à ce qu'il emporte en bagage à main. Autant que possible,
il prévoit dans ses bagages à main ce qu'il faut pour survivre
sans valise pendant deux ou trois jours.
-
Laurent et Théo évoquent les restaurants du septième arrondissement,
ainsi que les boulangeries où l'on peut acheter un sandwich.
N'étant pas un habitué de ce quartier, je n'ai rien retenu
de leur discussion sur ce sujet.
-
Il est question des
plans de métro.
Il ne s'agit pas du tout
de cartes fidèles, mais de schémas présentant une distorsion
par rapport à la géographie parisienne. Ainsi, sur certains
plans,
des stations relativement proches comme Saint-Ouen
sur le RER C et Garibaldi sur la ligne 13 se retrouvent
très éloignées, alors que dans le même temps, deux stations
qui semblent plus proches sont en fait assez éloignées.
Un autre cas de distortion est celui de la ligne 1. Sur
certains plans de métro, cette ligne est strictement
droite, alors que dans la réalité, elle effectue un
crochet pour passer par la Gare de Lyon entre Bastille
et Nation.
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La mauvaise appréciation des distances dans le métro est
parfois due à une autre raison. Par exemple, lorsque
vous êtes à la station de RER
Châtelet-les-Halles,
en quelques mètres vous pouvez vous retrouver à la
station de métro les Halles,
tandis qu'il faut prendre
de longs couloirs pour rejoindre la
station de métro Châtelet.
Or, comme les gens abrègent le nom
« Châtelet-les-Halles » en « Châtelet »,
ils en retirent l'impression qu'il s'agit de la même
station. Et que dire de ceux qui croient avoir une
correspondance facile entre Châtelet-Pont-au-Change
sur la ligne 7 et Châtelet-les-Halles sur la ligne A ?
Si ces deux stations avaient été nommées
« Les-Halles-Châtelet » et « Pont-au-Change-Châtelet »,
la longueur des couloirs ne surprendrait personne.
-
Théo a examiné attentivement les plans de métro que
nous avions. Il n'a pas trouvé le losange qui a longtemps
accompagné les stations
Rennes
et Liège,
pour indiquer que ces stations ferment à 20 h. Et non, maintenant
ces stations ouvrent comme les autres jusqu'à la fin
du service.
-
Nous évoquons le découpage en zones pour la tarification
de la carte orange. Il y a le cas particulier de
la Défense.
Si vous prenez la ligne 1 du métro, vous pouvez
utiliser un coupon de carte orange en zone 2.
Si vous prenez la ligne A du RER, il vous faut un
coupon valable pour la zone 3.
-
J'ai pris pendant plusieurs années le RER à la Défense
pour aller travailler. Voici comment est constituée
cette station de RER, du nord au sud:
- la voie « 1 », empruntée par la plupart des RER à destination de Paris,
- un quai central pour les passagers venant de la banlieue ouest et pour ceux allant vers Paris,
- la voie « A », utilisée par une faible proportion de RER à destination de Paris,
- la voie « B », utilisée de temps en temps par les RER à destination de Nanterre et au-delà,
- un quai central pour les usagers venant de Paris et de la banlieue est et pour ceux qui vont vers la banlieue ouest,
- la voie « 2 », sur laquelle circulent la plupart des rames à destination de Nanterre, Saint-Germain-en-Laye, Cergy et Poissy.
Soit dit en passant, cela provoque une certaine confusion entre les
voies 1 et A d'un côté et la ligne 1 du métro et la ligne
A du RER de l'autre côté, comme cela a été le cas lors
de la réunion. Revenons à nos moutons et intéressons-nous
aux usagers qui se dirigent vers Paris. En général,
les rames du RER en provenance de l'ouest arrivent toujours sur la même voie, la voie « 1 ».
Mais parfois, elles alternent, l'une sur la voie « 1 »,
la suivante sur la voie « A ». Et les hauts-parleurs
de mauvaise qualité nous annoncent alors avec leur voix
nasillarde :
Antentian, antentian, le prochan tran an destinantian de Panris
panrtiran de lan vouan « AN »
Merci pour le renseignement !
-
Laurent demande si les rames du métro ont toutes le même
empattement. Au début, j'ai mal compris la question et
je lui dit que, mises à part les lignes sur pneumatiques,
l'écartement est identique sur toutes les voies.
Mais Laurent précise qu'il ne parle pas de l'écartement,
distance entre la roue gauche et la roue droite, mais
de l'empattement, distance entre l'essieu avant
et l'essieu arrière. Il demande cela pour savoir
si toutes les rames peuvent négocier sans problèmes
les virages de la ligne 13. Si oui, il serait avantageux
de mettre en service sur la ligne 13 les mêmes rames
que sur la ligne 1, ce qui rendrait moins dense et plus supportable
l'agglutination des passagers dans la rame.
-
Théo rappelle qu'il y a eu des expériences sur la ligne 13
pour canaliser les montées et les descentes, avec des portillons
automatiques pour permettre ou interdire l'entrée dans les rames
et la sortie sur le quai, un peu comme sur la ligne 14.
Alors que la Gare Saint-Lazare a eu droit à un seul modèle en
expérimentation, la station Invalides a eu droit à plusieurs
modèles à la suite. Je rappelle qu'il y a longtemps,
il y avait des
portillons automatiques
entre les quais et les couloirs. Lorsqu'une rame était en station, les
portillons
étaient fermés, pour empêcher les passagers
de traverser le quai en courant pour prendre la rame.
Rien, en revanche, n'empêchait un passager déjà sur
le quai de courir pour monter dans le métro.
-
Nous évoquons également le système mis en oeuvre
à la place des portillons automatiques à la Gare Saint-Lazare.
Aux heures de pointe, il y a une personne que je surnomme
le « disk-jockey », car son outil de travail
est un micro qui émet à destination de hauts-parleurs,
lesquels sont de qualité nettement meilleure que ceux de
la Défense. Et il y a des « emplois-jeunes »,
désignés ainsi en souvenir d'une opération semblable qui a eu lieu dans les
années 80 sur la ligne A du RER.
À l'approche d'une rame, le disk-jockey envoie une
annonce du genre :
Attention, une rame est à l'approche.
pause
Veuillez vous éloigner de la bordure du quai.
pause
Veuillez laisser descendre avant de monter.
Et au moment où la sonnerie retentit, les emplois-jeunes
se mettent chacun devant une porte de la rame et
empêchent les gens excédentaires de monter, le plus
souvent par leur simple présence, parfois en étant
obligés d'intervenir.
-
Alors que Laurent évoque la ligne E du RER comme l'un
des itinéraires à sa disposition pour aller de son domicile
vers Paris, pour moi, je ne connais pas le RER E au-delà
de Magenta. Les rares fois que j'ai utilisé la ligne E,
c'était pour aller de la Gare Saint-Lazare à la Gare
de l'Est ou inversement. Or, la station Magenta est en
correspondance avec la Gare du Nord, mais pas la Gare de
l'Est. Donc, en arrivant à Magenta, je suis obligé de
monter les escaliers de Magenta pour rejoindre les abords
de la Gare du Nord, puis de prendre la rue d'Alsace
et de redescendre d'autre escaliers pour arriver à la
Gare de l'Est. Comme s'il n'avait pas été possible
de creuser un couloir entre la station Magenta
et la Gare de l'Est, avec le strict minimum de dénivellée.
-
Pour finir avec la géographie de Paris et de sa banlieue,
j'évoque une discussion à laquelle j'ai assisté
entre mon chef N+1 de l'époque
(déjà évoqué l'année dernière)
et mon N+2. À l'époque, je travaillais près de la
Porte d'Ivry, donc dans le secteur où le boulevard
des Maréchaux s'appelle « Boulevard Masséna ».
Un de mes collègues devait faire un
déplacement à Turin et l'hôtel où il devait loger
se trouvait rue Masséna. Mes deux chefs s'étonnaient
qu'à Turin aussi, ils connaissent le nom de Masséna.
Puis l'un d'eux a trouvé une explication :
C'était peut-être une victoire franco-italienne...
Comme quoi un maréchal d'empire se transforme en champ
de bataille. Précisons toutefois que, depuis quelques
temps, le boulevard des Maréchaux présente un hiatus.
Pour je ne sais quelle raison, le boulevard Victor
a été scindé en deux parties, la partie est conservant
le nom du maréchal d'empire, la partie ouest étant
rebaptisée
« Boulevard du Général Martial Valin ».
Ce général
a commandé les Forces Françaises Aériennes Libres
pendant la Deuxième Guerre Mondiale. Rien à voir avec
Masséna, Victor, Ney, Davout, Murat et tous les autres.
En fait, il y a deux hiatus. Après la réunion lors
de la rédaction de ce compte-rendu, j'ai en effet découvert que le boulevard Masséna
avait subi le même sort, au profit du
général Jean Simon.
-
Kai feuilletait un livre de photos sur le XXe arrondissement.
Au début, nous avons cru que c'était un de ses livres,
mais comme il est parti sans, nous avons compris
que c'était un livre que le Maldoror met à disposition
de ses clients. Certaines photos évoquant la
Commune,
nous en sommes venus à parler du XIXe, mais
le siècle, pas l'arrondissement. En plus de la
Commune, il y a eu deux autres révolutions en France
au XIXe siècle :
les Trois Glorieuses
qui ont chassé le Roi de France Charles X du pouvoir pour le remplacer
par Louis-Philippe, devenu alors Roi des Français et la
Révolution de 1848,
qui a chassé le même Louis-Philippe,
pour le remplacer par un Président, Louis-Napoléon Bonaparte,
le futur empereur Napoléon III.
-
Comme le nom l'indique,
les Trois Glorieuses
ont duré trois jours : 27, 28, 29, 30. Sauf que le dernier
nombre, c'est l'année. Et il manque le mois. La
date est donc 27, 28 et 29 juillet 1830.
J'ai dit que cette année avait vu de nombreuses autres
révolutions en Europe. Laurent pense que c'est plutôt
1848. Et après avoir révisé, je crois bien que c'est
Laurent qui a raison. En 1830, on peut noter l'indépendance
de la Belgique, tandis que l'année 1848 a été beaucoup
plus remuante.
-
Il est question également de l'Histoire de la Suisse.
La dernière guerre étrangère à laquelle la Suisse
a participé a été la guerre contre les Français,
qui s'est terminée par la défaite (côté suisse)
de Marignan. Par le même procédé que les
Trois Glorieuses,
je retiens que la date de la
bataille de Marignan
était 13, 14, 1515. Plus exactement, les 13 et 14 septembre
1515. Ensuite, la Suisse a été partiellement envahie
lors d'une campagne de Bonaparte contre l'Italie.
Finalement, il y a eu une
guerre civile
en Suisse pendant le XIXe siècle.
-
L'Histoire de la Grande Bretagne est marquée par deux révolutions. La
première
est très bien connue,
c'est celle qui a amené Cromwell au pouvoir et
qui a coûté sa tête à Charles Ier.
La seconde,
moins connue malgré son épithète « glorieuse », a été marquée simplement
par un changement de dynastie. Les Stuart ont
été remplacés par la Maison d'Orange, si je me
souviens bien. Et nous évoquons le dernier changement
de dynastie, qui a eu lieu pendant la
Première Guerre Mondiale.
La famille régnante
portait le nom de
Saxe-Cobourg.
Mais comme c'était politiquement incorrect d'avoir
un nom allemand, ils ont adopté le nom de
Windsor. Mais il n'y a pas eu pour autant de
souverain déchu.
-
Kai nous fait remarquer que la plupart des nations
ont connu pas mal de bouleversements, qu'il s'agisse
de révolutions ou de changements de dynastie. En revanche,
les États-Unis ont été beaucoup plus stables, ils
ont toujours conservé la même constitution démocratique.
Cela dit, je lui fait remarquer que, au vu des élections de 2000 et 2004,
il y a quelques accrocs dans le caractère démocratique des États-Unis.
Et j'aurais pu citer d'autres exemples eux aussi issus du mandat
de George Bush.
-
Le problème avec l'Histoire, c'est que nous l'avons
apprise en pointillé. Au début de l'année scolaire,
les professeurs d'Histoire adoptent un rythme
chronologique assez lent, pour pouvoir donner tous les détails
qu'ils estiment nécessaires. Du coup, lorsque la fin de
l'année scolaire apparaît à l'horizon, ils réalisent
qu'ils ne pourront pas faire tout le programme.
Et même en accélérant le rythme et en passant sur les
détails, ils arrivent à la fin de l'année sans avoir
pu tout faire. Cela a été le cas pour Laurent et
pour moi. Lorsque j'étais en seconde, le programme
s'étendait de 1788 jusqu'à 1830. Des camarades
que j'ai connus en classe de
première mais qui étaient dans une autre classe de seconde
de mon lycée avaient fini l'année avant que Louis XVI
soit exécuté. Dans ma classe, nous étions allés plus
loin que cela. Je ne me souviens plus exactement, mais
je crois que nous avions au moins atteint le Consulat.
-
En examinant de près le menu du Maldoror, nous avons
constaté que certaines cartes comportent une citation des
Chants de Maldoror.
Pour Laurent, avant 2008 « Maldoror » ne
signifiait rien et depuis, sa seule signification
est « l'endroit où les Mongueurs de Perl de Paris
se retrouvent ». Quant à moi, j'ai déjà entendu parler des
Chants de Maldoror
lorsque mon frère était au lycée et
qu'il a acheté ce livre pour ses cours de Français.
J'avais l'intention de le lire à l'époque,
mais je ne l'ai jamais lu. Je sais au moins
que l'auteur
s'appelle le
Comte de Lautréamont
(pour son public) et
Isidore Ducasse
(pour l'état-civil).
-
En parlant de l'AG du samedi 14 février,
j'ai réalisé que la veille de l'AG était un
vendredi 13.
Théo signale que les vendredis 13
se produisent plus souvent que les autres. Laurent
rétorque que cela ne se produit pas plus souvent ni
moins souvent que les jeudis 12. Et comme nous sommes
au mois de janvier, mois des voeux de bonne année,
je me fais écho de la grave question suivante :
Et si le premier janvier tombe un vendredi 13, est-ce
que c'est toute l'année qui porte malheur ?
-
Cela dit, la réflexion de Théo concernait la comparaison
entre les vendredis 13, les jeudis 13, les samedis 13
et ainsi de suite. Avec le simple programme suivant :
use strict;
use warnings;
use DateTime;
my %freq;
for (my $aaaa = 1601; $aaaa < 2001; $aaaa++) {
for (my $mm = 1; $mm <= 12; $mm++) {
my $dt = DateTime->new(year => $aaaa, month => $mm, day => 13, locale => 'fr');
$freq{ $dt->day_name }++;
}
}
for (sort { $freq{$a} <=> $freq{$b} } keys %freq) {
print "$_\t$freq{$_}\n";
}
il est possible de montrer que dans une période de 400 ans,
on aura :
jeudi 684
samedi 684
lundi 685
mardi 685
mercredi 687
dimanche 687
vendredi 688
Pourquoi 400 ans ? Parce que les années bissextiles
suivent un cycle de 400 ans dans le calendrier grégorien.
Ensuite, vous pouvez calculer combien de jours il y a dans un
cycle de 400 ans. 2 x 365 fait 730, 4 x 365 fait 1460. Donc 400 x 365
fait 146 000. En 400 ans, il y a 97 années bissextiles,
donc il y a au total 146 097 jours. Si vous décomposez
146 097 en facteurs premiers, vous trouvez
33 x 7 x 773.
(Et si vous voulez refaire ces calculs de tête, il vous
faudra au minimum un mois.) Comme 146 097 est
divisible par 7, cela signifie qu'il y a un nombre
entier de semaines dans un cycle de 400 ans.
Donc, le 1er janvier 2001 était un lundi,
comme l'a été le 1er janvier 1601 et comme
le sera le 1er janvier 2401. Ce qui montre
que la répartition montrée ci-dessus s'applique à toute
période de 400 ans du calendrier grégorien.
-
Quant à la réflexion que j'ai ajoutée sur le 1er janvier
tombant un vendredi 13, on peut remarquer qu'avec un peu de mauvaise
foi, c'est déjà arrivé et cela va arriver de nouveau.
Essayez donc le programme suivant :
use strict;
use warnings;
use DateTime;
use DateTime::Calendar::Julian;
for (my $aaaa = 1801; $aaaa <= 1900; $aaaa++) {
my $jul = DateTime::Calendar::Julian->new(year => $aaaa, month => 1, day => 1, locale => 'fr');
if ($jul->day_of_week == 5) {
my $greg = DateTime->from_object(object => $jul, locale => 'fr');
print "Le ", $jul->strftime("%A %d %B %Y"), " du calendrier julien tombe le ", $greg->strftime("%A %d %B %Y"), " du calendrier grégorien.\n";
}
}
for (my $aaaa = 2701; $aaaa <= 2900; $aaaa++) {
my $greg = DateTime->new(year => $aaaa, month => 1, day => 1, locale => 'fr');
if ($greg->day_of_week == 5) {
my $jul = DateTime::Calendar::Julian->from_object(object => $greg, locale => 'fr');
print "Le ", $greg->strftime("%A %d %B %Y"), " du calendrier grégorien tombe le ", $jul->strftime("%A %d %B %Y"), " du calendrier julien.\n";
}
}
Vous saurez alors que :
Le vendredi 01 janvier 1804 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1804 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1809 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1809 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1815 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1815 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1826 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1826 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1832 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1832 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1837 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1837 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1843 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1843 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1854 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1854 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1860 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1860 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1865 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1865 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1871 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1871 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1882 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1882 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1888 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1888 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1893 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1893 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 1899 du calendrier julien tombe le vendredi 13 janvier 1899 du calendrier grégorien.
Le vendredi 01 janvier 2704 du calendrier grégorien tombe le vendredi 13 décembre 2703 du calendrier julien.
Le vendredi 01 janvier 2709 du calendrier grégorien tombe le vendredi 13 décembre 2708 du calendrier julien.
Le vendredi 01 janvier 2715 du calendrier grégorien tombe le vendredi 13 décembre 2714 du calendrier julien.
(j'abrège un peu, tout le monde a compris)
Le vendredi 01 janvier 2894 du calendrier grégorien tombe le vendredi 13 décembre 2893 du calendrier julien.
Le vendredi 01 janvier 2900 du calendrier grégorien tombe le vendredi 13 décembre 2899 du calendrier julien.
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Mongueurs de Paris, le 27 juin 2018
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