La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de la disposition autour de la table :
Nous avons mangé du saumon fumé, des nems au poulet,des andouillettes, du confit de canard, un bô-bun, des crèmes brûlées et des fondants au chocolat. Nous avons bu des jus de fruits, du vin et des cafés;
Nous avons parlé de Perl, informatique et points divers.
open FH, ">$nomfic"pour un fichier en sortie. Et que se passe-t-il si l'on donne un $nomfic commençant par « > » ? Éh bien le programme ouvre un autre fichier, dont le nom ne comporte pas le « > » initial et en plus il est ouvert dans un mode différent : ajout sans troncation du contenu. C'est peut-être un bug si celui qui fournit $nomfic est de bonne foi, c'est plus vraisemblablement une faille de sécurité s'il a fait exprès de fournir un nom de fichier inhabituel. Avec la forme à trois arguments,
open FH, '>', $nomficle découpage entre le nom de fichier à proprement parler et le mode d'ouverture est déjà fait, il n'y plus d'ambiguïté.
open my $fh, '>', $nomficl'homonymie n'est plus un problème, car elle est compensée par les règles de visibilité des variables lexicales, que tout le monde connaît. Et que se passe-t-il si la fin de la portée lexicale survient alors que le fichier est encore ouvert ? Il y a un close implicite au moment où le pad des variables lexicales est supprimé. Cela n'empêche pas Sylvain et moi de coder des close explicites pour fermer le fichier sans attendre la fin de la portée lexicale. Et lorsque Sylvain corrige des copies d'exercices de programmation, il accorde un point de plus à ceux qui codent explicitement leurs close par rapport à ceux qui s'appuient sur la fin de la portée lexicale.
Constants aren't, variables won't.je trouve que cela complique les choses pour la programmation simple et j'estime qu'une variable doit pouvoir changer de valeur lorsque le programme s'exécute.
Je sais compter : 1, 2, 4, 8, 16...Peut-être a-t-il appris à compter avec le jeu 2048. Cela dit, je ne me suis pas (ou pas encore) intéressé à ce jeu.
Savez-vous si M. Dupont est à son bureau ?Le participant répond :
Je vais voir s'il est là. C'est de la part du qui ?La femme reprend :
Mais enfin, vous n'avez pas reconnu Isabelle Adjani ?Et effectivement, l'autre femme, restée sans parler, ressemblait comme deux gouttes d'eau à Isabelle Adjani, c'était Isabelle Adjani.