La voix du secrétaire (Jean)
Présents à la réunion, en fonction de la disposition :
Ceux qui ont commandé un qr/(blue-cheese-|bacon-)?burger/ ont mangé un qr/(blue-cheese-|bacon-)?burger/, mais pas forcément le mets exact qu'ils avaient commandé. Les autres ont commandé et mangé un oeuf mayonnaise, des moules marinières, une assiette auvergnate, une salade du même coin, un pavé d'autruche, des spaghetti bolognese ou carbonara, un poulet frit et une dame blanche. Nous avons bu de la Beamish, de la Stout, de la Pécheresse, de la Desperado et autres bières, une margarita et quelques Orangina à la bouteille. À noter que Emmanuel avait demandé une cinquante d'Orangina et que le serveur lui a soutenu que cela ne se faisait pas et que cela ne s'était jamais fait. Or, comme je le lui ai confirmé, Emmanuel a déjà commandé et obtenu « une cinquante d'Orangina » ou bien « une pinte d'Orangina ».
Nous avons parlé de Perl, Internet, informatique et le reste.
for my $attr ( qw( from date subject size folder source ) ) { no strict 'refs'; *$attr = sub { my $self = shift; @_ ? $self->{$attr} = shift : $self->{$attr}; } }
$handle = open $file, :chomp :encoding«guess» :ungzip or die "Oops";
substr($chaine, $pos, $long) = 'toto';Quant aux autres attributs, je ne sais pas à quoi ils peuvent servir.
2 × 3 donne 6La multiplication peut également faire le produit membre à membre de deux vecteurs ou de deux matrices dont les dimensions sont compatibles. Par exemple :
( 1 3 ) ( 5 7 ) ( 5 21 ) ( ) × ( ) donne ( ) ( 2 4 ) ( 6 8 ) ( 12 32 )Lorsque l'on applique l'opérateur o. à la fonction dyadique ×, on obtient une nouvelle fonction dyadique o.×, qui, lorsqu'on lui donne par exemple un vecteur de longueur 3 et un vecteur de longueur 4 renvoie une matrice 3x4. Exemple, avec des longueurs 2 :
( 1×3 1×4 ) ( 3 4 ) ( 1 2 ) o.× ( 3 4 ) donne ( ) soit ( ) ( 2×3 2×4 ) ( 6 8 )Il y a aussi l'opérateur ., qui s'applique à deux fonctions dyadiques. Prenons par exemple + et ×. La fonction dyadique correspondante, notée +.×, permet de combiner par exemple deux matrices, à condition que le nombre de lignes de la deuxième, que nous appelerons B soit égal au nombre de colonnes de la première, A. Par exemple, on peut multiplier une matrice 3x4 et une matrice 4x2. On multiplie les coefficients de A par ceux de B et on additionne les résultats intermédiaires. C'est la multiplication de matrices à laquelle nous somme habitués depuis le lycée. Exemple :
( 1 3 ) ( 5 7 ) ( 1×5+3×6 1×7+3×8 ) ( 23 31 ) ( ) +.× ( ) donne ( ) soit ( ) ( 2 4 ) ( 6 8 ) ( 2×5+4×6 2×7+4×8 ) ( 34 46 )Utilisé sur deux vecteurs, cela donne le produit scalaire. Le concept peut s'étendre à d'autres fonctions dyadiques que + et ×. Voir des exemples dans un bon livre ou un bon tutoriel sur le sujet (comme Le Langage APL de Bernard Legrand, éditions Masson, qui réside sur mon étagère depuis deux décennies). Le Jargon File comporte également un exemple à l'entrée one-liners.